allemagne, 17 juillet : arrivée à munchen

Publié le par - iris -

Arrivée à Munich sous la flotte, harnachée comme un mulet et fatiguée...  Après le calme (presque) pictavien de Regensburg, débarquer dans l'agitation d'une ville de près d'un million d'habitants, ça remue, un peu trop à mon goût. Agressifs, stressés, pressés ; les munichois me rappellent vaguement les parisiens de la gare Montparnasse un vendredi de départ en vacances.

Nous tournons le dos à la gare et à toute l'agitation. On va tout droit, on verra bien... Au bout d'une petite demi-heure apparaît le centre de Munich, avec l'hôtel de ville et son beffroi, caractéristique des villes du Nord.



De fil en aiguille, on découvre l'opéra, le théâtre et le musée de Munich, tous trois sur une immense place. L'heure des représentations commence et j'entends le début d'une Danse Hongroise de Brahms. Dans la lumière du soleil couchant, on prend les Champs-Élysées de la ville : une immense avenue constituée uniquement de boutiques de luxe et de mode. Je croise Armani et Dior, Dolce et Gucci. Pas de Lanvin ; tant pis pour moi. Profitant des derniers rayons de lumière, quelques photos du Maximiliananlagen, probablement un palais de gens friqués. Aucune idée, je ne le trouve nulle part dans le routard.




Demain dernier jour en Allemagne, un peu de culture : les musées d'art de Munich.

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